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« C’est pas un statut, c’est un régime ! » S’il est vrai que l’intermittence ne forme pas tant un statut juridique à part entière qu’une situation professionnelle singulière, reste encore à clarifier les rouages qui structurent l’indemnisation des professionnel·le·s du spectacle. Au menu de cette fiche pratique : évolution passées et à venir ; conditions d’attribution et modes de calculs.

Afin de bénéficier de l’indemnisation chômage, les intermittent·e·s du spectacle sont tenus de répondre à un certain nombre de prérequis. Qu’ils soient artistes ou technicien·e·s, ils·elles doivent ainsi faire l’objet d’une privation involontaire d’emploi (fin de CDD, rupture à l’initiative de l’employeur ou bien démission légitime). De la même manière, pouvoir justifier d’au moins 507 heures de travail au cours des 10 mois précédant la fin du contrat pour un technicien·ne (et 10 mois et demi pour un·e artiste) constitue un impératif préalable à l’ouverture de tels droits. Enfin, certaines déclarations  Pour un état des lieux exhaustif des conditions d’indemnisation, nous vous invitons à consulter la plateforme en ligne du service public.

Une fois ces conditions remplies se pose alors la question du calcul des allocations auxquelles l’intermittent·e du spectacle peut prétendre. En toute logique, l’indemnité journalière est proportionnelle au salaire de référence et au nombre d’heures travaillées.

Pour en savoir plus sur l’évolution historique du cadre proposé aux intermittent·e·s du spectacle, vous pouvez également consulter la chronologie développée par le site mescachets.com