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Qu’il s’agisse de graver dans le marbre dans le polycarbonate une composition aboutie, de vous prémunir de l’incontournable CD de démo pour entamer votre tournée des programmateur·rice·s ou bien de convertir un travail acharné en un album prêt à la commercialisation, la question de l’enregistrement devrait rapidement se poser.

Le processus communément désigné sous le terme d’enregistrement condense en réalité 3 étapes distinctes dont l’enregistrement, autrement dit la captation des voix et instruments (simultanément ou séparément), ne constitue que le point de départ. Suit alors le mixage qui a pour but de marier et d’équilibrer les différentes pistes sonores qui composent un morceau. Dernière étape avant d’aboutir au produit final : le mastering consiste en une harmonisation de vos différents morceaux.

Ces bases posées, il convient avant tout de se demander si la maturité du projet artistique que vous portez est suffisamment établie pour justifier une séance d’enregistrement. Il convient ensuite de prendre certaines précautions avant d’entrer en studio. Rappelons ici que la démarche est relativement onéreux et que dans un souci de rationalisation, à l’instar d’une séance de répétition, une session d’enregistrement doit faire l’objet d’une préparation méticuleuse. Vous pouvez alors consulter plusieurs sites afin de trouver un studio près de chez vous comme Zikinf.

Avec le perfectionnement et la démocratisation des outils numériques, l’enregistrement au moyen d’un home studio est venu étayer la panoplie de l’artiste indépendant. Cette formule présente un certain nombre d’avantages, a fortiori si vous disposez déjà de tout ou partie du matériel nécessaire. Vous pouvez trouver plusieurs tuto sur internet pour monter son propre home studio, comme sur Metal Zone, Producteur Pro